Desmond Ford

Nom

Ford

Prénom

Desmond

Surnoms

Croyez-vous que les humains ont la chance de se voir mon ami intime ? Non pas. Ils doivent me nommer par mon nom ou me désigner par des attributs courtois, mais je ne tolère, en aucun cas, les termes affectueux, voire amicaux. Dans ces cas-là, j’ai l’impression d’être leur copain, quelqu’un de proche dans leur entourage et Dieu sait que je ne m’approche de personne.

Âge

20 ans.

Sexe

Je suis un homme.

Date de naissance

Je suis né le 26 novembre 1987 dans les alentours de minuit.

Signe astrologique

Sagittaire.

♥ Description physique et psychologique ♥

Physique

En toute franchise, je n’aime pas mon apparence si elle n’est pas ensevelie sous une couche épaisse de maquillage, si je ne porte pas mes verres de contact et si je ne suis pas vêtu avec extravagance. Autrefois, on me qualifiait « de petit ange adorable et mignon », mais je ne tiens pas à être mignon, pire je ne veux pas l’être. Ce que je veux c’est qu’on me trouve séduisant, craquant, impressionnant, perturbant et « baisable ». Je veux qu’on me trouve terrifiant, je veux qu’on se méfie de moi, que les gens aient d’horribles frissons d’effroi en me croisant dans la rue, qu’ils abaissent leurs prunelles intimidées devant moi. Qu’ils me craignent et m’admirent à la fois ! Ce n’est pas en possédant une longue chevelure blonde et des iris d’un bleu doux et bienveillant que je vais traumatiser les passants. Et oui, sans ma teinture noire et mes verres de contact de couleur – dont l’un est blanc et l’autre rougeâtre -, je suis le parfait cliché des fils américains : le bel homme blond, yeux bleus, grand et musclé qui s’éprend de la jeune écervelée de première. En somme, je suis laid et sans charme. Je me préfère nettement mieux ma peau blafarde et poudrée, mes paupières soulignées d’un trait noir et brillantes d’ombre à paupières, mes lèvres reluisantes de rouge à lèvres – dans mon cas c’est plutôt noir -. Parfois, je rajoute un peu de noir sur mes joues afin qu’elles paraissent plus creuses, afin que je ressemble à un cadavre ou à un malade sur le point de trépasser. Cet effet diminue mon air angélique et féminin, le rendant presque inhumain et démoniaque. Malheureusement, mon visage n’est ni caractérisé par des traits virils et ni disgracieusement dessinés et comme le répétait l’un des étudiants du secondaire : « Ford a une face de fillette pis un corps d’homme. Même pas ! Vous z’avez vu ces bras, pis ces mains ? C’est long, mais tout petit ! » Oui, oui. J’étais la copie conforme de cette charmante image. Néanmoins, complexé et courroucé, j’ai débuté de séances de musculation et me voilà doté de beaux valons fermes au niveau de la poitrine, d’un dos magnifique, de bras musculeux, de mains robustes et adroites et de jambes solides. Outre mon physique cadavérique, mon style vestimentaire s’oriente dans le domaine du gothique, plus précisément vers le fétichisme le sado-masochisme et le vampirisme. Cuire, latex, chaînes, menottes, capes, cannes, bottes immenses. Je ne porte que des vêtements extravagants et provocants.

Signes particuliers

Hum…J’ai une panoplie de signes particuliers : trois piercings acérés sous ma lèvre inférieur, mes verres de contact, mes nombreux tatouages dont l’un sur le dos qui représente un réseau de lignes tribales filant de mes omoplates à mes biceps ; j’ai également des inscriptions à la base de la nuque et une croix sur le poignet droit. Suite à cela, je dirais mes vêtements, mon maquillage et le nombre ahurissant de bijoux que je porte. Voir mon physique.

Maladie ou anormalité

Maladie ou anormalité ? Je suis parfaitement normal même si quelques personnes prétendent le contraire.

Caractère


Oh la ! comment pourrais-je résumer ma personnalité ? Que pourrais-je bien dire pour satisfaire votre curiosité ? Bon, débutons par le commencement. Autrefois, dans un autre monde, alors que j’étais classé parmi les autres humains minables et exaspérants, j’étais d’une douceur exemplaire qui se muta progressivement pour une agressivité bestiale. Oui, depuis quelques années, je me suis forgé un caractère abominable et incorrigible que très peu de personnes peuvent endurer. Que voulais-je dire par « caractère abominable et incorrigible » ? Eh bien, c’est simple. Je vous explique. Je suis fourbe, manipulateur, profiteur et menteur. Nullement honnête et toujours camouflant mes pensées véritables aussi bien que ma nature doucereuse, je me joue des gens, je les utilise à ma guise et selon mes besoins, abusant de leur faiblesse pour les avoir à merci. Oui, je veux qu’on m’haïsse, qu’on m’exècre, qu’on me maudisse. Aussi, je me dois de préciser que je suis dépendant affectif, toujours désirant des contacts charnels, toujours voulant me plonger en quelqu’un, toujours vouloir éprouver cette volupté intense durant les jeux, mais toujours voulait être avec cette personne. À contrecoeur, j’avoue que j’ai réellement besoin d’un homme à mes côtés. Possessif sur tout ce qui m’appartient – tout -, paranoïaque à mes heures où je visualise de drôles de scènes, obsessif sur tout ce que je désire, il m’est impossible de garder bien longtemps un compagnon. Quoi dire de plus ? Mes manies sont brusques et sauvages, mes actes sont provocants, mes paroles blessantes, elles offusquent et percutent les cordes sensibles. Comme je disais, mon intention n’est pas qu’on me regarde avec un air attendri, mais plutôt avec cette expression dégoûtée, médusée et perplexe, je ferais tout en mon possible pour atteindre cet objectif. Pour se faire, je me dois d’être arrogant, prétentieux, vicieux, pervers et insensible. En un mot, inhumain. Pire qu’un scélérat, pire qu’un monstre, je dois être Satan en personne.
♥ Passé ♥

Son histoire

La nuit de ma naissance fut pluvieuse et orageuse. Je fus un bébé bruyant dans les premières semaines, toutefois je devins calme et silencieux d’après les dires de ma famille. Mes grands yeux exploraient les alentours, je restais blottis dans les bras de ma mère et je refusais le toucher de mon père ou de qui que ce soit d’autre. Si je me souviens bien, j’avais trois sœurs et deux frères. Oui, nous étions une famille nombreuse, mais que voulez-vous ? Ma mère adorait les enfants braillards et aspiraient à coloniser le manoir au complet jusqu’à ce qu’un médecin l’avertisse de cesser de pondre des mômes à tous les deux ans avant qu’elle ne meure. Bien sûr, si elle avait eu la sottise de l’écouter, elle serait morte et aurait alléger nos épaules d’un fardeau. Salope.

Mon enfance ne fut pas tout rose. Étant doux, docile et taciturne, je laissais les autres garçons de mon âge me rabaisser et m’humilier sans me dresser et leur fracasser la mâchoire d’un maigre coup de poing. Pour tout dire, je ne ressentais aucune frustration : je me fichais éperdument d’eux. À la maison, c’était une tout autre paire de manches. Mon père, imbécile géniteur de mes fesses, était l’un de ces personnages qui porte son dévolu sur toutes les femmes, femmes avec qui il avait des relations sexuelles et ensuite venait satisfaire les pulsions de ma mère. Ce qui comptait pour lui était le sexe, la cigarette et son travail. Un vrai abruti qui ne pense qu’avec les poils sur sa poitrine. Il ne s’occupait plus de ses enfants, ne leur accordait qu’un regard ou deux dans une journée et demeurait indifférant devant notre animosité envers lui.

À l’adolescence, je découvris, n’étant pas excité par les filles, que j’étais homosexuel. Lorsque mes parents l’ont su, en me trouvant au lit avec un mâle, j’ai reçu la plus belle raclée de ma vie. Mon corps était devenu bleuâtre, meurtri et endolori. Mes frères et sœurs m’ont témoigné que du mépris et de l’aversion. Certains parmi eux me menaçaient de me castrer, de me ligoter durant mon sommeil et de me…Enfin bref, j’ai dû subir les railleries, les commentaires blessants qui m’affligeaient curieusement. C’est à partir de ce moment là que tout dégénéra dans la famille. L’une de mes sœurs me prit en pitié et m’aida à surmonter cette épreuve, mon père, désapprouvant son geste, la battit jusqu’à ce que du sang carmin asperge le plancher. Par la suite, cette même sœur se suicida. Je la retrouva dans sa chambre, affalée sur le sol, la tête explosée, un pistolet, vestige de son acte, jonchait le plancher parmi les morceaux du cerveau. Je me souviens être demeuré immobile, observant avec fascination les débris sanglant et le sang décorant les murs. C’était de toute beauté.

Ma mère tomba en dépression, mon père se mit à boire, les aînés se droguèrent, les plus jeunes devinrent des délinquants juvéniles. Pour ma part, je commençais à devenir quelqu’un, à vouloir devenir ce que je n’étais pas. On retrouva ma mère, inanimée et pendue, se balançant au-dessus du plancher, le cou gracieusement déformé. Mon père, lui, devenu ivrogne termina ses jours dans ses vomissures après, bien entendu, m’avoir à nouveau frappé, marmonnant quelque chose concernant mon orientation sexuelle. Nous étions maintenant cinq. L’un de mes frères pourrit en prison après avoir violé son ancienne petite amie –je crois même qu’il est mort - , l’autre se droguait encore avant d’être assassiné froidement par des inconnus. Quelque chose en relation avec la vente de drogues. Ensuite, mes deux autres sœurs, l’une est devenu une fille de joie avant de contracter une maladie mortelle et la dernière, un an plus jeune que moi, s’est retrouvée dans un orphelinat, comme moi, et alla dans une famille d’accueil, comme moi. Je n’aimais pas la famille dans laquelle je fus placé. Elle était stricte, sévère et austère. Je fis plusieurs fugues, je visitai un grand nombre de famille d’accueil où je tombai sur l’une qui me plaisait bien. Il y avait un jeune homme, sensible à mon charme démoniaque, qui se laissa séduire. C’est aussi à ce moment-là qu’on m’apprit que ma jeune sœur, faisant partie d’un gang de rue, a été tuée et je reçus l’héritage de mes parents. Une jolie somme d’argent encombre mon portefeuille.

Mais maintenant, j’ai un homme en vue et je compte bien l’avoir, de gré ou de force, et par tous les moyens possibles.


♥ Autres ♥

Emploi



Je viens d’être embauché dans la boutique X2O et je commence mes cours à l'université en médecine.


Classe sociale

Classe supérieure bien que je me déniche un travail au salaire minimum et que je possède un appartement plutôt miteux, mais c’est pour le style.

Statut social

Célibataire, mais je ne le reste jamais bien longtemps.

♥ Vous ♥

Je laisse le soin à Alexis de compléter cette section puisqu’il a un sens de l’humour beaucoup plus développé que le mien.


Hop hop hop donc. Ma partie préférée.

Votre nom : Je préfère qu’on m’appelle Nael…
Pourquoi ce nom ? Parce qu’il en est ainsi …
Votre âge : 17 ans …
Vous étudiez en quoi ? En littérature.
Vous êtes bons en français ? Je l’espère bien.
Sur une échelle de un à dix, (dix étant le meilleur et un le pire) situez votre niveau de rp : Je me situerai entre…8 et 10, cela dépend du moment d’inspiration.
Qui figure sur votre avatar ? Aspid, mannequin allemand.
Que pensez-vous du forum ? Que l’idée vient de Kyle et donc à la limite du stupide ? Non, je plaisante, je crois qu’il va être bien.
Comment l'avez-vous connu ? Non, pas sur un site prono, c’est plutôt Kyle qui m’a convaincu de participer à sa création.
Avez-vous faim ? *Je déteste tes questions * En y réfléchissant, je mangerais bien une pomme.
Aimez-vous les smileys monkeys ? …. Je n’émets aucun commentaire.
Vos goûts musicaux ressemblent à quoi ? Métal…vieux rock…vieux métal…musique instrumentale, trame sonore de films, musique classique.
Vous aimez Marilyn Manson ? C’est mon idole. Voilà une raison pour laquelle j’ai choisi Aspid comme avatar, il lui ressemble.
Vous fréquentez les camps de nudiste combien de fois par année ? Aucun, mais je suis nu en tout temps.
Combien de boules sur votre cornet de glace ? Je ne mange pas de crème glacée.
Combien de manettes sont branchées à votre console de jeu ? Je n’utilise pas de console de jeu.
De quel côté se lève le soleil ? ….. D’orient. Quelle question idiote.
Ça vous arrive de bouffer de l'encre ? Non, l’idée ne m’a jamais effleuré l’esprit.
Vous aimez le Québec ? Je crois que oui…
Vous êtes séparatiste ? Non.
Vous en avez assez ? Oui. Même que je commence à avoir mal au crâne.
Vous vous demandez l'utilité de ces questions ? Non, je connais la réponse…